Petits Bonheurs...


At Last !
En-fin une occasion d’encore te dire que le mot Fin n’est pas dans ton vocabulaire. J’ai enfin cette occasion de te dire et te redire que je t’aime, Amen.

Toujours toi, souvent moi, parfois Nous. Comme disent les Bouddhistes :
« Mourir ce n’est rien. Commence donc par vivre : c’est moins drôle et c’est plus long. » Pourquoi ? Tu es là, j’apprends, tu enseignes et Nous semons. Barbarisme que de penser la lettre « M » comme lettre et non comme mot, comme sens, parce que c’est en vers qu’elle devient alors toute chose et la voici « aime » comme « je t’aime ». La prose est indiscutable et les mots, pour moi, disent tellement plus que la voix et les sons. Délectation…

Tout est discutable, jusqu’à ta conscience, ton âme. Mais ne serais-tu pas quelqu’une si tu ne ressentais pas ? Ne serais-tu plus toi si tu oubliais et si tu quittais ? Tu ne serais plus Moi si tu abandonnais : JE ne serais plus moi-même si tu m’en voulais ! Corpulence de l’antre Humain, Paradis intérieurs et dulce de la vie sont trois parties en toi que je ne peux saisir mais que j’apprécie, pour ne pas dire que j’adule… Mamita.

Je t’adore toi et tes défauts et malgré ceux et ce qui manque, j’aime toujours penser à toi et me dire que tu fais réciproquement. J’aime à penser qu’un jour l’on se réincarnera en Nous et qu’une deuxième vie commencera et, pourquoi pas, une vie aussi belle et plus encore si c’est possible, pour alors qu’on la suive et la finisse ensemble. A d(i)eux !

« Les moments les plus courts sont toujours les meilleurs » mais j’espère que celui-ci durera une éternité, cette minute très intense, et que de tous mes souvenirs, il reste comme celui de ma plus belle déclaration d’amour…



BOITCHENKOFF. C, le 17/09/05.

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