Ô Capitaine, mon Capitaine...


"Vouloir être dans le vent est une ambition de feuille morte". Chapitre erroné de l'histoire ? Mouvance, évolution, changement mal étudié parce que trop pressé ?

Changer est une nécessité et non pas un accessoire... L'agrandissement des horizons est si bon, si beau... si loin.
La tendresse et l'amour pour seul bouclier, quelle bien louable, mais triste, carapace et pourtant, l'on s'y accroche, l'on se souvient trop bien et puis, enfin, l'on rêve ! L'on rêve substance, à outrance, passionnément, littéralement et voilà... Renaissance !

Onde chaude, échine tendue et tête fière. De belles promesses, de lointains regrets. Juste une absence, un vide, un rien qui remplace l'euphorie initiale... Un manque, un vrai. Les "amours toujours" sont si loins, si flous, si seuls.

Besoin de vous, vous, vous et moi. Grandioses et orgueilleux, nous voici retrouvés, réajustés et de nouveaux amoureux, amicaux. Quel doux sentiment, mielleux à souhait mais tellement tendre. L'on y croque fortement, pleinement, sans rancunes. L'on s'aime, tout simplement...

Les amis ne cessent jamais de s'aimer, c'est inébranlable comme une conviction, une certitude, un projet... Un projet pour la Vie, promesse au-delà de tout, tout...Passions à l'aube d'une ère neuve, à réapprendre, à suggérer... Une nouvelle façon de s'aimer.

BOITCHENKOFF.C, 03/10/08.

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