Les plaques
Différences.
L'officiellement
actif de ma cervelle s'est toujours accordé là-dessus. Au moins.
S'entendre
pour en faire un chemin. Une philosophie. Une dope quotidienne. Une
putain de crise de l'instant, où plus rien ne compte que la vie.
Envers
et avec tous.
Partager.
Un
besoin tellurique de me sentir vibrer. Traits et sens s'osmosent.
Rarement devinée et, pour l'heure, jamais comprise. Ca n'appartient
qu'à moi, un peu lente. Eternelle encre partielle. Mais je m'exhorte
des calligraphies avortées pour entretenir mon intensité. Elle a
besoin de gueuler, c'est chimique.
Pour
gagner, toujours.
Interroger.
C'est
comme ça. La courbe autonome, son cercle continu. Evidemment, y'en a
pour moi. Atavisme (grand)maternel. J'ai puisé un fantôme hors
d'une chronologie parallèle. Et après? Jetée d'acides et
syntagmes tueuses. Les mots (maux), ça pique... et ça vous emmerde.
Et puis la question de la question...
Contrastes.
Ambitieuse canopée. J'ai du mal avec
le monochrome privé de légende. Il me faut des mythes de chairs.
Sans aucune transparence. Des densités conceptuelles pour finir ma
croissance. Que j'y trouve des combats inachevés. Et des âmes à
rêver pour ravitailler l'ascension. Pour rythmer la tectonique de mon
cœur.
Et un jour toucher le ciel.
Tchenk, le
10/01/2015.
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